Salle Librairie, 23 Nov 2019 18:00-19:30
D’Arcelor à Lactalis en passant par Servier ou Lafarge, des informations d’intérêt général ne sont pas publiées au risque de porter atteinte à la santé des personnes ou à l’environnement. On comprend, sans l’accepter, les raisons des dirigeants de cacher de telles informations, mais pourquoi ces informations n’ont-elles pas « fuité » dans la presse pour protéger les enfants ou les populations qui ont finalement été victimes d’intoxications ? L’alerte serait-elle contraire à l’intérêt des salariés et des entreprises ?
Le silence face aux risques n’est-il pas le risque majeur ?
Plusieurs affaires montrent que l’alerte peut conduire à des condamnations des auteurs de pollutions : comment ? Les expériences des intervenants permettront au public de s’approprier la démarche de l’alerte.