auditorium 140, 15 Nov 2020 13:00-14:30
La couverture du mouvement des Gilets Jaunes par la presse a fait apparaître une fracture nette dans la corporation des journalistes qui avait l’image d’une profession soudée par une charte déontologique et la formule « indépendance des journalistes ».
L’évolution capitalistique des entreprises de presse, Internet a ouvert les portes à de nombreux médias numériques qui tentent d’exister et sont souvent à l’origine d’enquêtes et d’investigations poussées. De leur côté, les réseaux sociaux tiennent une place de plus en plus importante dans le processus d’information ou de … désinformation.
L’alerte est-elle le pré carré des médias « comme il faut » ? Quelle vision les jeunes journalistes ont-ils de cette profession ou de ces professions à nombreuses facettes ? Comment se vit la relation journaliste et lanceur d’alerte ? Quels sont les fondements des choix éditoriaux en matière d’alerte ? Le traitement journalistique de l’alerte doit-il passer par la scénarisation du lanceur d’alerte ? Une relation parfois difficile que nous proposons de mettre en question.