Amphithéâtre, 14 Nov 2021 13:00-14:00
La crise sanitaire du printemps, nous a alertés sur les difficultés pour le monde économique et les salariés.
Le rôle primordial pour la société des « invisibles », infirmières, aides-soignantes, caissières, livreurs, femmes de ménage, … a été mis en lumière.
La situation des plus pauvres, travailleurs précaires, travailleurs saisonniers, travailleurs au noir, petits boulots (ex. ménage et garde d’enfants à domicile), a fait l’objet d’une certaine couverture médiatique durant le confinement. À l’issue de cette crise sanitaire aux fortes conséquences économiques, quelle est leur situation? Notre société doit-elle s’alerter à l’entrée de l’hiver ? Quelles réponses leur apporte-t-elle ?
Les associations dont les bénévoles ont souvent plus de 70 ans se sont trouvées dans une impasse pour poursuivre leurs activités et aider les plus précaires. L’Etat a-t-il été à la hauteur de la situation ? Comment les associations ont elles géré cette situation, à qui ont elles eu recours, avec quelles conséquences pour les plus pauvres ?